Une petite vidéo de Tokyo, réalisée avec une caméra statique, sur une musique de Kusanagi (Minimal in the sky).
Static : Pulse (Tokyo time lapse)
Une petite vidéo de Tokyo, réalisée avec une caméra statique, sur une musique de Kusanagi (Minimal in the sky).
Static : Pulse (Tokyo time lapse)
Le projet Advanced beauty, oeuvre d’un collectif d’artistes du monde entier (Brésil, Japon, Royaume Uni etc.), a pour objectif d’explorer l’expérience sensorielle de « voir le son » et de« goûter les couleurs ». Cette collaboration entre programmeurs, artistes, musiciens, animateurs et architectes a abouti à la réalisation de 18 oeuvres ou « sculptures sonores audio-réactives ».
A regarder et à écouter après le travail, ou après les cours avant d’aller au Dojo….. Relax !…..
Advanced Beauty 9 of 18 – Marc Kremers (affichez le mode plein écran)
Animation inspirée d’un poème traditionnel chinois.
The Wonder Land
Le projet Advanced beauty, oeuvre d’un collectif d’artistes du monde entier (Brésil, Japon, Royaume Uni etc.), a pour objectif d’explorer l’expérience sensorielle de « voir le son » et de« goûter les couleurs ». Cette collaboration entre programmeurs, artistes, musiciens, animateurs et architectes a abouti à la réalisation de 18 oeuvres ou « sculptures sonores audio-réactives ».
A regarder et à écouter après le travail, ou après les cours avant d’aller au Dojo….. Relax !…..
Advanced Beauty 12 of 18 – Paul Simpson (affichez le mode plein écran)
Parallèlement au cinéma « vivant », le cinéma chinois connaît une grande tradition de cinéma d’animation. Le cinéma chinois se concentre jusqu’en 1947 dans les régions nord-est du pays où le Studio de cinéma est créé avec un département spécial pour l’animation : les Studios d’art de Shangaï. Il réunit des professionnels de l’animation mais aussi des peintres et auteurs de bande dessinée. C’est le départ de l’époque florissante de l’animation chinoise qui, durant une quizaine d’années, utilise plusieurs formats, comme les papiers découpés, des peintures traditionnelles, des ombres chinoises, ou encore le dessin à l’encre de Chine, qui fascine le public chinois. Après quelques soucis dans les années 1960, l’animation chinoise prend un nouveau départ à la fin des années 1970 et connaît aujourd’hui un développement à la mesure de celui de son économie.
Ce qui différencie le cinéma chinois des autres, c’est que ces films ont pour point de départ une expression ou un proverbe, une légende ou une philosophie liés à l’histoire du pays. De plus, ils sont le plus souvent dépourvus de dialogues pour une question d’exportation. Dans le petit bijou d’animation présenté ici, l’auteur illustre le Tao (prononcé Do en japonais). Le Tao est un terme de philosophie chinoise, notion de la force fondamentale qui coule en toutes choses dans l’univers, vivantes ou inertes.
Le chemin
Les Anime (prononcer animé) est le diminutif d’animêshon. Il s’agit d’un mot désignant les films et séries d’animation, dont le Japon est un grand producteur. Très souvent, ils sont en rapport avec un manga : soit l’anime est basé sur un manga à succès, soit un manga est créé d’un anime populaire.
Ghost in the Shell – Innocence
Cowboy Bebop
Samuraï Champloo